Anthony Poiraudeau

Auteur

Crédit Photographique :
DR

Après des études d’histoire de l’art et un doctorat à l’EHESS (École des Hautes Études en Sciences Sociales sur les notions de lieu et de paysage dans l’art contemporain, Anthony Poiraudeau se consacre à la littérature, d’abord sur son blog futiles et graves et sur le blog collectif le convoi des glossolales (qu’il créé en 2009 et administre jusqu’en 2014), ainsi qu’en participant occasionnellement au site internet de création littéraire remue.net. Son premier livre, Projet el Pocero : dans une ville fantôme de la crise espagnole, paraît en 2013 aux éditions Inculte. Il s’agit du récit d’une déambulation dans une ville fantôme auquel se mêlent des éléments d’essai à propos des villes, de la spéculation immobilière et de l’histoire espagnole contemporaine. En 2014, il bénéficie d’une Mission Stendhal, attribuée par l’Institut Français, qui lui permet de séjourner un mois dans une petite ville du Grand Nord canadien, cadre de son deuxième livre. La même année, il devient membre du comité de rédaction de la revue de « littérature et d’appels d’air » La moitié du fourbi, qui publie deux numéros par an. Il écrit aussi régulièrement pour la revue 303 : arts, recherches, créations. Depuis 2017, il est membre du Conseil d’Administration de l’association 303 (éditrice de la revue 303). Depuis 2017 également, il anime occasionnellement des rencontres avec des écrivains pour la librairie nantaise La Vie devant soi, et anime à une fréquence hebdomadaire des ateliers d’écriture dans le cadre d’une classe préparatoire aux écoles d’art en Vendée. En octobre 2017 paraît son deuxième livre, Chuchill, Manitoba, publié par les éditions Inculte. Il s’agit d’un récit, ou d’un roman non fictionnel, à propos d’une petite ville du Grand Nord canadien, du désir d’un lieu lointain et de la rêverie sur les cartes de géographie.

Bibliographie

Churchill, Manitoba, éd. Inculte, 2017
Projet el Pocero : dans une ville fantôme de la crise espagnole, éd. Inculte, 2013

A participé à :

  • Lettres d'automne 2018