Club de lecteurs de la médiathèque Memo
Lecteurs assidus d’auteurs confirmés, dénicheurs de nouveaux talents, la Mémo vous invite chaque mois à défendre vos coups de cœur ou simplement à écouter et collecter des idées de lectures. Le rendez-vous de novembre est consacré aux auteurs invités du festival. Venez découvrir leurs livres avant de les rencontrer !
Rendez-vous proposé par la Mémo, médiathèque de Montauban
Venir en covoiturage avec Festicar
Ateliers d’écriture avec Marie Sigal, autrice, poétesse, compositrice, interprète, piano et voix
et Dorian Masson, auteur, poète, interprète.
20 > 24 OCT 2025 – Ateliers d’écriture et mise en voix
de 9h30 à 12h (groupe d’adolescents) ou de 14h30 à 17h (groupe d’adultes) à la Médiathèque et au Centre social de Lafrançaise
22 > 23 NOV 2025 – Ateliers d’écriture et mise en voix & répétition
de 10h à 17h le samedi 22/11 et de 10h à 12h30 le dimanche 23/11 (horaires susceptibles d’être un peu modifiés) pour les deux groupes, à la Médiathèque de Lafrançaise
23 NOV 2025 à 16h – Restitution sur scène
La restitution sera suivie du spectacle Je vois des voix proposé par Marie Sigal et Dorian Masson dans le cadre du festival Lettres d’automne.
Offrez-vous une immersion dans un processus de création collective et dans celui d’un auteur-compositeur.
À travers l’échange de récits de vie et l’exploration de la mémoire, ces ateliers invitent à écrire ensemble, à se rencontrer et à mettre en mots et en musique des histoires partagées. Certains récits pourront nourrir le spectacle éponyme de Marie Sigal en cours de création, témoignant ainsi de la richesse des rencontres et de la force du collectif.
La restitution aura lieu le dimanche 23 novembre à 16h dans le cadre du festival littéraire Lettres d’automne.Elle sera suivie d’une performance-concert présentant une étape de la création « Je vois des voix qu’on n’entend pas » de Marie Sigal, en présence de Dorian Masson.
Conditions de participation aux ateliers d’écriture
L’inscription est gratuite.
Merci de remplir un bulletin d’inscription et de le renvoyer par mail à centre.culturel@paysdelafrancaise.fr ou le déposer à la médiathèque de Lafrançaise.
La présence à tous les ateliers est requise.
Être sur scène le jour de la restitution n’est pas une obligation.
Télécharger le flyer
Manifestation proposée en partenariat avec la Communauté de Communes du Pays de Lafrançaise, avec le soutien de la DRAC Occitanie, de la DRAJES Occitanie et de La Fondation La Poste.
Les échanges de ce Jeudi poésie seront consacrés à l’œuvre d’Emmanuel Muheim.
Emmanuel Muheim (1923-2002) est un poète et écrivain originaire de la Savoie. Connu pour la création et la direction du centre culturel des rencontres de l’Abbaye de Sénanque (1970-1988), il est dans un premier temps paysan à la tête du domaine familial et poète. Il est passionné de musique et de littérature et correspond avec les poètes de son temps. Surnommé le « chercheur de lumière », son oeuvre poétique retrace ses rencontres, parfois improbables, et les paysages de la Provence où il s’est établi (L’aïeule – 1991, Sur les brisées du sable – 1989, Le Moine et le Poète, Albin Michel, 1993).
Quelques extraits :
« Une famille s’y établie avec ses joies, ses difficultés, ses fêtes et son deuil. Quelques livres y ont été écrits : de quel poids fut la rigueur de l’architecture abbatiale sur une écriture poétique ? De quelle autorité fut la lumière de la Provence, de la vallée, pour délimiter les ombres ? Et pourquoi ce besoin d’aller plus loin encore se soumettre à des déserts plus rigoureux ? » – Ecrits de Sénanque, Albin Michel, 1987
Jeudi poésie est un rendez-vous littéraire à La petite comédie animé par Marie-Claude Astoul et Sylvie Crouzat, membres de l’association Confluences. Lors de cette heure il s’agit de lire et d’échanger autour de la poésie contemporaine et d’en souligner à la fois sa diversité et sa vivacité. Un rendez-vous ouvert à tous : fervents lecteurs de poésie, novices ou curieux ! Venez si vous le souhaitez avec des lectures à partager.
Les membres du Cercle de lecture ont choisi de débattre autour du roman Allah n’est pas obligé ( Seuil, 2000) d’Ahmadou Kourouma, lauréat du Prix Renaudot 2000, du Prix Goncourt des lycéens 2000. Ahmadou Kourouma reçoit la même année le Grand Prix Jean Giono pour l’ensemble de sa carrière. Une adaptation est programmée le dimanche 19 octobre à 20h45 au cinéma La Muse à Bressols lors de la 10e édition du festival Les Animés.
Présentation du livre
Il s’appelle Birahima, il a dix ou douze ans et, comme beaucoup d’enfants, il joue au petit soldat avec une mitraillette. « C’est facile. On appuie et ça fait tralala. » Sauf qu’ici l’arme est bien réelle et les morts ne se comptent plus. Birahima fait partie de ces orphelins qui ont tout perdu et n’ont d’autre recours, malgré leur jeune âge, que de devenir des sortes de mercenaires dans les guerres tribales qui déchirent des pays comme le Liberia ou la Sierra Leone, les fameux enfants-soldats. Le tableau est atroce : c’est le règne du grand banditisme sous couvert d’activités soi-disant révolutionnaires, des massacres de populations civiles, les pires horreurs. « Mais Allah n’est pas obligé d’être juste avec toutes les choses qu’il a créées ici-bas. »
Lire un extrait
« Tout est vrai, hélas, dans le livre d’Ahmadou Kourouma qui n’est cependant pas un document mais bien un roman.
Ce qui rend encore plus percutante l’horreur racontée par un enfant avec un humour terrible qui renvoie chacun à ses responsabilités et à sa mauvaise conscience. » – Gérard Meudal
Ouvert non seulement aux membres de Confluences mais à toutes celles et ceux qui le souhaitent, le Cercle de lecture de Confluences se réunit toutes les 4 à 6 semaines pour débattre autour d’un livre choisi par les participants.
Retrouvez les débats du Cercle de lecture de Confluences dans leur émission sur CFM Radio.
Le jeudi poésie de la rentrée est consacré à l’auteur Pierre Gabriel. Ce poète discret est né à Bordeaux et a vécu à Condom dans le Gers où dirigea une distillerie. Il ne fréquentait pas les milieux littéraires, il a publié une revue de poésies Haut Pays qu’il imprimait lui même. Il a reçu de nombreux prix pour récompenser son talent : Prix Voronca en 1958, Prix Artaud en 1967, Prix Apollinaire en 1983, prix Prométhée en 1988. Il est décédé en 1994 avant de recevoir le Grand prix du Mont Saint-Michel pour l’ensemble de son œuvre.
Pour en savoir plus :
Son portrait par Michel Baglin
Le bar à poèmes
Babelio
Jeudi poésie est un rendez-vous littéraire à La petite comédie animé par Marie-Claude Astoul et Sylvie Crouzat, membres de l’association Confluences. Lors de cette heure il s’agit de lire et d’échanger autour de la poésie contemporaine et d’en souligner à la fois sa diversité et sa vivacité. Un rendez-vous ouvert à tous : fervents lecteurs de poésie, novices ou curieux ! Venez si vous le souhaitez avec des lectures à partager.
avec Marjolaine Cambon, violoncelle et Nathalie Vidal, comédienne
Dans 555, l’écrivaine Hélène Gestern nous lance à la recherche d’une partition ancienne découverte dans la doublure d’un étui à violoncelle et aussitôt dérobée. Et si ce précieux document avait été écrit par Domenico Scarlatti, talentueux compositeur aux 555 sonates ?
Des extraits d’œuvres pour violoncelle de Gabrielli, Dall’Abaco, Scarlatti (Alessandro, le père de Domenico) mais aussi de Bach accompagnent la lecture de fragments de ce roman musical.
Hélène Gestern, qui sera à Montauban en novembre pour le festival Lettres d’automne, avait reçu le Grand prix RTL-Lire Magazine littéraire pour son roman 555 .
Durée : 45 min / Gratuit – Apéritif offert
Coproduction Les amis des Passions et Confluences dans le cadre du festival Passions Baroques (du 2 au 12 octobre 2025)
Rencontre & lecture avec Lydie Salvayre et Maurice Petit
Lydie Salvayre, figure majeure de la littérature contemporaine et complice de longue date de Confluences (elle avait été invitée d’honneur du festival Lettres d’automne en 2008), publie cet automne un autoportrait littéraire où elle explore son goût pour la solitude, son allergie aux conventions sociales et son amour de la langue.
Cet Autoportrait à l’encre noire, paru aux éditions Robert Laffont, est un texte intime, savoureux et d’une très grande liberté, où l’autrice se confronte avec force et ironie aux paysages de sa mémoire et de son imaginaire.
Cette rencontre sera aussi l’occasion de fêter les 10 ans de « La petite comédie » que Lydie Salvayre avait inaugurée en 2015, quelques mois après avoir reçu le prix Goncourt pour son roman Pas pleurer.
En compagnie de toute l’équipe de Confluences mais aussi de ses fondateurs, Nicole et Maurice Petit, nous célèbrerons dix ans de rencontres, d’échanges et de joies partagées autour de la littérature !
Présentation du livre
« J’écris parce que je ne sais pas parler. De cela, je suis sûre. » Ou, peut-être, que Lydie Salvayre ne peut pas parler. Dans cet autoportrait qui joue avec le genre, elle interroge son goût de la solitude et les racines de son allergie aux codes sociaux. Sensibilité, générosité, drôlerie nourrissent le baromètre intérieur d’une de nos plus grandes romancières. Et derrière son humour canaille, elle dessine les paysages du seul pays qui compte à ses yeux, celui de la littérature.
Éditions Robert Laffont
Présentation de La petite comédie
Voilà dix ans que l’association Confluences a pris ses quartiers rue de la Comédie et dispose depuis lors d’un lieu ouvert au public, accueillant chaque année une trentaine de rendez-vous culturels associant artistes, auteurs et partenaires.
Cet espace est également utilisé pour des formations, créations artistiques, et moments clés de la vie associative. Véritable caisse de résonance culturelle, il s’ouvre à d’autres associations et participe aux temps forts et festivals de Montauban : festival de sculpture de l’Espace Bourdelle, festival Passions Baroques, Journées Olympe de gouges, rencontres de La femme renard…
[L’événement est complet et vous n’avez pas pu réserver ? N’hésitez pas à venir 5 minutes avant le début : il arrive souvent que des personnes inscrites ne se présentent pas.]
Les membres du Cercle de lecture ont choisi de débattre autour du roman Cézembre (Grasset, 2024) d’Hélène Gestern, que nous avions eu le plaisir de recevoir en 2019 lors du festival Lettres d’automne, dont l’invitée d’honneur était Anne-Marie Garat, à qui ce livre est dédié. Hélène Gestern sera d’ailleurs de retour à Montauban en novembre 2025 pour la prochaine édition du festival.
Présentation du livre
Après son divorce et la mort de son père, Yann de Kérambrun décide de quitter son poste de professeur d’histoire à Paris pour retourner à Saint-Malo, où il a passé les étés de son enfance. Épuisé, il n’a plus qu’un désir : retrouver la mer et la contempler depuis la maison dont il a hérité, le long de la plage, face à l’île de Cézembre.
Mais très vite, Yann observe avec intérêt les impressionnantes archives de sa famille dans l’ancien bureau d’Octave, son arrière-grand-père. Irrésistiblement attiré par ces carnets, véritables journaux de bord, il se plonge dans leur lecture. Octave, qui rêvait de dompter la mer en concevant de nouveaux bateaux à moteurs, a fondé au début du XXe siècle une illustre compagnie maritime, Kérambrun & Fils. L’entreprise a contribué à la fortune de la ville et son fondateur en est devenu un des principaux notables. Pourtant, derrière l’image brillante de grand capitaine d’industrie s’esquisse rapidement un autre visage : le patron génial, visionnaire était un père et un époux inquiet, un homme qui a traversé des drames et dont les doutes et les blessures semblent faire écho à celles de son arrière-petit-fils. Pourquoi ? Quelles douleurs, quels secrets taisent les carnets d’Octave ?
En plongeant dans la vie de son aïeul, son arrière-petit-fils va tenter de comprendre les failles qui lézardent la légende familiale. Ce faisant, il découvrira l’histoire tourmentée de Cézembre, une île microscopique mais à la position stratégique face à la ville. En éclairant le passé, en apprivoisant les éléments maritimes, le solitaire Yann de Kérambrun parviendra à adoucir le présent et, peut-être, à vivre à nouveau les sentiments qu’il fuyait.
Au fil de pages magnifiques qui sont autant de tableaux de cette côte bretonne à la beauté aussi envoûtante qu’inquiétante, l’époustouflante saga d’une famille malouine dont la mer a fait la fortune et le malheur..
Lire un extrait
Ouvert non seulement aux membres de Confluences mais à toutes celles et ceux qui le souhaitent, le Cercle de lecture de Confluences se réunit toutes les 4 à 6 semaines pour débattre autour d’un livre choisi par les participants.
Retrouvez les débats du Cercle de lecture de Confluences dans leur émission sur CFM Radio.
Avec Marine Giacomi, autrice-illustratrice
À l’occasion de Partir en Livre et dans le cadre de leur semaine thématique « Culture et coulisses », les enfants inscrits au centre social La Comète participeront à un atelier de création de chimères, imaginé et animé par Marine Giacomi, autrice-illustratrice.
« À partir de fragments de corps d’animaux et de végétaux que j’aurai dessinés, les enfants seront invités à inventer une chimère vivant dans les jardins familiaux du centre social. Ils lui donneront un nom et définiront ses caractéristiques propres. Une fois la chimère assemblée et plastifiée, ils la fixeront sur une tige en bois, puis la dissimuleront dans le jardin, accompagnée d’un encart présentant son identité. »
Les œuvres réalisées seront exposées dans les jardins familiaux du centre social tout au long de l’été, accessibles aux familles, aux usagers des parcelles, ainsi qu’au grand public.
Matinée réservée aux enfants du centre social
Partir en livre c’est du 18 juin au 20 juillet 2025 partout en France.
À Montauban Confluences a imaginé un programme en partenariat avec la librairie Le bateau livre, la Mémo médiathèque de Montauban, le Musée Ingres Bourdelle et le Centre Social de Montauban ; et avec le soutien du Centre National du Livre, de la Préfecture de Tarn-et-Garonne et de la Ville de Montauban.
Atelier gravure conçu et animé par Marine Giacomi, illustratrice
A l’occasion de Partir en livre nous vous convions à une activité créative à partager en famille !
Découvrez la gravure en taille-douce grâce à une technique simple et accessible à tous, que vous pourrez facilement reproduire à la maison : la gravure sur tetrapack.
À partir du livre Où te caches-tu ? de Marine Giacomi (textes Raphaël Martin, La Martinière jeunesse, 2023 ) les participants imagineront un animal « qu’on ne voit pas » ou difficile à repérer, qu’ils graveront sur une plaque de tetrapack. Avec une pointe sèche, ils réaliseront leur motif, qui sera ensuite encré puis imprimé à l’aide d’une presse.
Venir en tenue salissable.
L’atelier sera suivi d’une séance de dédicaces avec Marine Giacomi et d’un goûter.
Partir en livre c’est du 18 juin au 20 juillet 2025 partout en France. En savoir plus
À Montauban Confluences a imaginé un programme en partenariat avec la librairie Le bateau livre, la Mémo médiathèque de Montauban, le Musée Ingres Bourdelle et le Centre Social de Montauban ;
et avec le soutien du Centre National du Livre, de la Préfecture de Tarn-et-Garonne et de la Ville de Montauban.
