
Explorer la musicalité des textes poétiques et les faire entendredans des versions personnelles et actuelles : c’est l’objet de cette performance poétique.
Zedrine partage à sa manière le répertoire classique auquel il s’abreuve. Il le confronte à des sonorités électroniques, hip-hop ou ambient. Les mots d’Aragon, Lamartine ou Musset sont alors plus contemporains que jamais.
En préambule, les personnes ayant participé aux ateliers d’écriture de chanson proposés par Zedrine à Montauban et à Moissac seront invitées à partager leurs créations.
Manifestations proposées en partenariat avec la Mémo, médiathèque de MontaubanAvec Brice Torrecillas
Depuis 2020, Lettres d’automne se décline aussi sous la forme d’un podcast que l’on peut écouter toute l’année, chez soi ou en balade.
Et si on découvrait ensemble cette nouvelle proposition autour d’un café ? Venez écouter un extrait puis partager vos impressions avec Brice Torrecillas qui a mené les entretiens avec les écrivains.
Avec Camille de Toledo et Mathias Énard
Modération : Élodie Karaki
Le fantôme d’Odessa (Denoël Graphic 2021) est un roman graphique co-signé par Alexander Pavlenko et Camille de Toledo. À mi-chemin entre biographie et fiction, il fait revivre Isaac Babel, grande figure de la littérature du 20e siècle, au destin aussi tragique qu’énigmatique. En mai 1939, l’auteur des Contes d’Odessa est incarcéré à la prison de la Loubianka. Il y sera interrogé et torturé durant huit mois avant d’être secrètement exécuté sur ordre de Staline. Alexander Pavlenko et Camille de Toledo imaginent qu’il écrit alors à sa fille Nathalie, réfugiée en France avec sa mère. La lettre du condamné à mort prend la forme d’un examen de conscience. Comment ses idéaux de liberté, son refus des dogmes, son humanisme l’ont-ils écarté de cette révolution à laquelle il a cru ?
Mathias Énard a récemment signé la préface d’Années de guerre (Autrement, 2021) recueil d’une autre grande figure de la littérature russe, Vassili Grossman, mondialement connu pour son chef-d’œuvre Vie et destin.
Au cours de cet échange, Camille de Toledo et Mathias Énard évoqueront leur fascination pour le parcours ambivalent et tragique de ces deux auteurs.
Avec Hélène Arntzen (saxophone, piano), Jean-Marc Montaut (piano) et Luis Rigou (flûtes)
Mélodies et variations résonnent en gare !
Hélène Arntzen, Luis Rigou et Jean-Marc Montaut accueilleront festivaliers et voyageurs pour un impromptu musical haut encouleurs.
Modération : Élodie Karaki
Lecture : Nathalie Vinot
Dans les livres de Mathias Énard, écrivait Olivier Rolin*,« il y a la curiosité du vaste monde, des langues, des styles, des pensées, des gueules. De l’histoire et de la géographie. […] C’est le savoir, mais aussi la générosité. […] La délicatesse et la puissance. ».
Depuis son tout premier livre, qui s’ouvrait sur cette phrase « Le plus important, c’est le souffle », Mathias Énard construit une œuvre singulière et forte qui poursuit une réflexion sur l’altérité et nous invite sans cesse à décaler notre regard.
L’écriture de ses romans, ses activités d’enseignant, de critique littéraire, plus ponctuellement de traducteur, témoignent de sa passion pour la langue et la littérature, de son appétit de savoirs.
Ce premier grand entretien avec Élodie Karaki sera occasion d’entrouvrir quelques-unes des (innombrables) portes de son univers, mais aussi d’entendre des extraits de ses textes mis en voix par Nathalie Vinot.
* dans la préface du recueil Dernière communication à la Société proustienne de Barcelone.
18h30 – Les dames parapluies
Accueil poétique sur le parvisdu théâtre par la Cie La Passante
Des personnages mi-dame, mi-parapluie apparaissent.
Leurs silhouettes drapées de noir esquissent une calligraphie mouvante.
Dans cet espace de rencontre, elles tissent les mailles d’une toile invisible et palpable avec le public.
Des rencontres ont lieu. Le texte est murmuré, écho de l’intime de chacun. Il traverse leurs voiles.
Mais déjà les parapluies entrent dans un ballet.
À pleine voix, leurs paroles délivrées deviennent chœur, témoin d’une rencontre imprévue avec la poésie.
19h – En guise d’ouverture
En présence de Mathias Énard, intervention des partenaires du festival et présentation des temps forts du programme sous la forme d’un film réalisé par Jean-Pierre Roussoulières avec le concours de Jean-Marc Augereau.
Cocktail offert par la Ville
20h – Les dames parapluies par la Cie La Passante
Textes : Mathias Énard
Lectures : Nathalie Vidal, Jacques Merle, Luc Sabot
Dans son dernier livre, Le Banquet annuel de la confrérie des fossoyeurs, Mathias Énard exhume des trésors de culture populaire. Alors que le roman emboîte les pas d’un étudiant en anthropologie dans un village fictif au bord du Marais poitevin, l’auteur nous offre d’étonnants intermèdes en chansons.
Ce sont ces textes que les trois comédiens vous invitent à découvrir durant tout le week-end, lors d’une lecture itinérante et en épisodes, à picorer ou à écouter en intégralité.
Textes : Mathias Énard
Lectures : Nathalie Vidal, Jacques Merle, Luc Sabot
Dans son dernier livre, Le Banquet annuel de la confrérie des fossoyeurs, Mathias Énard exhume des trésors de culture populaire. Alors que le roman emboîte les pas d’un étudiant en anthropologie dans un village fictif au bord du Marais poitevin, l’auteur nous offre d’étonnants intermèdes en chansons.
Ce sont ces textes que les trois comédiens vous invitent à découvrir durant tout le week-end, lors d’une lecture itinérante et en épisodes, à picorer ou à écouter en intégralité.
Textes : Mathias Énard
Lectures : Nathalie Vidal, Jacques Merle, Luc Sabot
Dans son dernier livre, Le Banquet annuel de la confrérie des fossoyeurs, Mathias Énard exhume des trésors de culture populaire. Alors que le roman emboîte les pas d’un étudiant en anthropologie dans un village fictif au bord du Marais poitevin, l’auteur nous offre d’étonnants intermèdes en chansons.
Ce sont ces textes que les trois comédiens vous invitent à découvrir durant tout le week-end, lors d’une lecture itinérante et en épisodes, à picorer ou à écouter en intégralité.