Archives des Les rendez-vous de Confluences - Page 14 sur 36 - Confluences

Lecture musicale : Femmes prix Nobel de littérature

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Nathalie Vidal, accompagnée des musiciens Killian et Owen Montaudié, mettra en voix des extraits de textes, poèmes et discours des dix-sept femmes lauréates du prix Nobel de littérature.

Entre 1901 et 2020, le jury du prix Nobel de littérature a récompensé dix-sept femmes sur quelque cent vingt primés.
Autrices majeures de la littérature mondiale, elles ont en commun d’être des femmes engagées, qui défendent leurs idées en conjuguant littérature et humanisme.
Si certaines n’ont pas attendu d’être primées pour connaître la célébrité, telles Toni Morrison, Doris Lessing ou Nadine Gordimer, le prestige de ce prix a permis à d’autres de faire entendre leur voix au-delà des frontières, telles Svetlana Alexievitch, devenue un emblème de la contestation en Biélorussie ou la dissidente roumaine Herta Muller.
Pour d’autres, leur nom a été effacé peu à peu par le temps, leur œuvre n’ayant pas ou peu été traduite en français.

Pour vous faire découvrir ou redécouvrir ces écrivaines des quatre coins du globe, Festilitt, le festival littéraire de Parisot, a imaginé une exposition visible à La petite comédie du lundi 7 au vendredi 25 mars de 10h à 17h, entrée libre.


Manifestation proposée par Confluences et Festilitt en écho aux Journées Olympe de Gouges 2022

 Crédit photo : Guy Roumagnac

Et si l’amour c’était aimer ?

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BD Concert interprété par Totorro and Friend : Jonathan Siche (guitares, machines), Christophe Le Flohic (guitares, machines), Pierre Marolleau (batterie)
d’après Et si l’amour c’était aimer de Fabcaro (éditions Six Pieds Sous Terre, 2017)
Une coproduction Confluences / Eidos / Le Rio

Confluences, le Rio et Eidos Cinéma proposent une nouvelle soirée BD-Concert.
Et si l’amour c’était aimer, hommage appuyé aux romans-photos et à tout ce que l’amour a pu inspirer pour vendre du papier aux amateurs et amatrices de roman à l’eau de rose.

Le livre

Sandrine et Henri coulent des jours paisibles dans leur villa luxueuse. Henri est un patron de startup épanoui et dynamique et Sandrine l’admire. Mais hélas la vie n’est pas un long fleuve tranquille… Un beau jour, Sandrine tombe sous le charme de Michel, un brun ténébreux livreur à domicile et chanteur de rock à ses heures perdues. Une idylle merveilleuse va alors se nouer entre eux. Mais la vie est-elle toujours du côté de l’amour ? Les sentiments purs et absolus ne sont-ils pas qu’une feuille morte emportée par le vent ? Un arc-en-ciel ne finit-il pas toujours par disparaître derrière les nuages ? Un hommage appuyé aux romans-photos et à tout ce que l’amour a pu inspirer pour vendre du papier aux amateurs et amatrices de roman à l’eau de rose. Si vous pensiez avoir fait le tour de la question sur ce genre de littérature, laissez-nous vous soumettre l’idée qu’on peut aller encore un peu plus loin, grâce à Fabcaro.
Lire un extrait du livre

Le BD-concert

Issu directement du groupe pop-rock Totorro, Totorro and Friend(s) est né en 2018 d’une création originale autour du jeu vidéo culte Another World d’Eric Chahi. Dans ce « game-concert », il y avait ce désir et l’envie forte d’accompagner en musique une expérience vidéoludique.

Après cette première expérience et toujours avec une nouvelle envie d’associer de la musique à un médium qui les touche, Totorro & Friend choisissent la bande dessinée pour ce nouveau projet de création. Et dans le champ de la BD moderne, l’œuvre de Fabcaro correspond à un style qui leur parle tout particulièrement, à savoir une capacité à traiter de sujets très sérieux, en offrant au lecteur une légèreté qui permet de relativiser mais aussi de surprendre.

Et son ouvrage Et si l’amour c’était aimer ? a particulièrement retenu leur attention. Fabcaro arrive à ironiser sur les interactions sociales qui nous lient les uns aux autres, coups de théâtre et coups de poing, affolement des sens et confusion des sentiments, formules éculées et suspense trépidant, « Et si l’amour c’était aimer ? » célèbre l’inoubliable rencontre de la collection Harlequin et de « l’humour glacé et sophistiqué » cher à Gotlib et aux Monty Python… Ainsi, la comédie des sentiments & les petites misères de notre quotidien sont passées à la moulinette de l’absurde et de la dérision !

Cette façon de dédramatiser les problèmes quotidiens des personnages et le sérieux du monde des « adultes », font presque écho à leur musique. Cette dernière, calculée, précise, sérieuse dans sa construction, reste enfantine, épidermique, récréative dans sa proposition… Un assemblage qui promet une dimension comique nouvelle à l’œuvre de Fabcaro…

 

Présentation et vente de bandes-dessinées par la librairie La femme renard

 

Ouverture des portes à 20h ; Concert à 20h30
Pré-vente: 12€ au guichet du Rio ou billetterie en ligne via Le Rio
Sur place  : 15€ plein tarif

Renseignements auprès de
Confluences : 05 63 63 57 62 / Eidos cinéma : 05 63 63 44 74 / Le Rio  :05 63 91 19 19

Les manifestations se déroulent selon les protocoles sanitaires en vigueur.

 

 

Le cercle de lecture et couverture du livre

Cercle de lecture : Aharon Appelfeld

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Le premier Cercle de lecture de l’année 2022 est consacré à l’ouvrage d’Aharon Appelfeld, Des jours d’une stupéfiante clarté, édition de l’Olivier, 2018
Le livre est disponible en format poche chez Points.
Après la rencontre en novembre dernier avec l’autrice Valérie Zenatti (traductrice d’Aharon Appelfeld) lors du  festival Lettres d’automne , les membres du Cercle de lecture de Confluences ont eu envie de lire cet auteur et ont donc choisi son dernier ouvrage en date.

Pour participer il suffit de nous contacter par le biais du bouton « réserver » ci-dessous.

Ouvert non seulement aux membres de Confluences mais à toutes celles et ceux qui le souhaitent, le Cercle de lecture de Confluences se réunit toutes les 4 à 6 semaines pour débattre autour d’un livre choisi par les participants.
Retrouvez les débats du Cercle de lecture de Confluences sur CFM Radio.

Informations et résumé de l’histoire par l’éditeur

Traduit de l’hébreu par Valérie Zenatti
Theo Kornfeld a vingt ans lorsqu’il quitte le camp de concentration que ses gardiens viennent d’abandonner à l’approche des Russes. Il n’a qu’un seul but : retrouver la maison familiale. Errant sur les chemins, blessés au plus profond d’eux-mêmes, les déportés qu’il croise lui rappellent l’horreur à laquelle il a survécu, tandis que d’autres figures émergent de son passé. Celle de sa mère, Yetti, une femme à la beauté exceptionnelle, au caractère fantasque, qui aimait les églises, les monastères et l’œuvre de Bach. Celle de Martin, un père trop discret que Theo va apprendre à mieux connaître.

Des jours d’une stupéfiante clarté raconte son voyage à travers les paysages d’Europe centrale baignés de lumière. Chaque rencontre suscite en lui d’innombrables questions. Comment vivre après la catastrophe ? Comment concilier passé et présent, solitude et solidarité ? Comment retrouver sa part d’humanité ?

Par-delà le fracas de l’Histoire, ce livre admirable est le récit d’une résurrection.

 

Les manifestations se déroulent selon les protocoles sanitaires en vigueur.

Cercle de lecture Francesca Melandri

Cercle de lecture : Francesca Melandri

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Le dernier Cercle de lecture de l’année 2021 est consacré à l’ouvrage de Francesca Melandi, Plus haut que le ciel, Gallimard 2015
Le livre est disponible en format poche chez Folio.

Pour participer il suffit de nous contacter par le biais du bouton « réserver » ci-dessous.

Ouvert non seulement aux membres de Confluences mais à toutes celles et ceux qui le souhaitent, le Cercle de lecture de Confluences se réunit toutes les 4 à 6 semaines pour débattre autour d’un livre choisi par les participants.

Retrouvez les débats du Cercle de lecture de Confluences sur CFM Radio.

Informations et résumé de l’histoire par l’éditeur1979. Paolo et Luisa prennent le même bateau, chacun de son côté, pour se rendre sur l’Île. Mais ce n’est pas un voyage d’agrément, car
c’est là que se trouve la prison de haute sécurité où sont incarcérés le fils de Paolo et le mari de Luisa. Ce dernier est un homme violent
qui, après un meurtre commis sous le coup de la colère, a également tué un surveillant en prison, tandis que le premier a été reconnu
coupable de plusieurs homicides politiques sur fond de révolution prolétarienne. L’homme et la femme ne se connaissent pas, Paolo est professeur de philosophie, mais il n’enseigne plus ; Luisa, elle, est agricultrice et élève seule ses cinq enfants. À l’issue du voyage et de la brève visite qu’ils font au parloir de la prison, ils ne peuvent repartir comme ils le devraient, car le mistral souffle trop fort. Ils passent donc la nuit sur l’Île, surveillés par un agent, Pierfrancesco Nitti, avec qui une étrange complicité va naître. Pour ces trois êtres malmenés par la vie, cette nuit constitue une révélation et, peut-être aussi, un nouveau départ.
Avec Plus haut que la mer, Francesca Melandri livre un deuxième roman incisif et militant, une superbe histoire d’amour et d’idées qui est aussi une subtile réflexion sur le langage, celui de la politique et celui du monde dans lequel nous vivons.

Lire des extraits du livre

 

Les manifestations se déroulent selon les protocoles sanitaires en vigueur.

Bureau de poste poético burlesque

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Par la compagnie Oxymore

L’idée de départ est simple : tisser un lien invisible entre des inconnus, dans le cadre d’un échange de courrier !

Grâce à leur bureau de poste tout terrain, Marcel Berticot, accompagné par son employée Mlle Odette sillonnent les routes. Dans une ambiance vintage, leur guichet s’installe dans la rue. Machines à écrire, papier, enveloppes, café, cigarettes, radio, la secrétaire s’active tandis que, sur la place, le directeur aborde les passants pour faire la publicité de leurs idées avant-gardistes :

« C’est quand même fou qu’à l’ère de la communication absolue, les inconnus ne se connaissent pas !
Nous avons pour ambition de permettre à deux personnes qui ne se rencontreront nulle part et jamais d’être reliées ici et maintenant !
Notre objectif est simple : la collecte, la dactylographie, l’acheminement et la distribution de lettres entre personnes inconnues… mais consentantes ! »

Manifestation programmée en partenariat avec la Fondation La Poste

La langue bien pendue

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Le club de lecture mensuel de la Mémo sera consacré aux auteurs invités du festival. Venez partager vos découvertes et recueillir des idées de lectures !

Rendez-vous organisé par la Mémo, médiathèque de Montauban

Affichage poétique

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Création originale de La Grande Mag d’après un poème de Jean d’Amérique, lauréat de la résidence d’écriture,
et créations réalisées par les habitants lors d’ateliers artistiques. 

L’échappée
Création originale de La Grande Mag d’après un poème de Jean d’Amérique
La résidence d’écriture de Jean d’Amérique est jalonnée de rencontres, y compris avec d’autres artistes.
Parmi eux, La grande Mag, dont les collages poétiques ou décalés jalonnent la ville aux endroits les plus inattendus. Très touchée par les écrits de Jean d’Amérique, ébranlée par son langage, son histoire, son parcours, elle a choisi quelques vers du  recueil de poèmes Nul chemin dans la peau que saignante étreinte (Cheyne éditeur) pour nous proposer une création originale.
« Le lieu de la résidence — les salles de spectacles de Montauban — et son thème — Entre cour et jardin : itinérances — m’ont beaucoup guidée dans le choix des matériaux à utiliser. Je me suis servie d’une affiche de concert récupérée dans la rue, d’éléments d’affiches de spectacles du théâtre Olympe de Gouges, d’exposition de photographies.
Itinérances dans le temps, en me servant d’images passées, en collant dans le présent et permettant une lecture dans le futur.
Itinérances aussi dans l’espace, entre l’accumulation d’images collectées çà et là, le travail intime au creux de l’atelier et la mise en exposition aux yeux de tous. »
Objectif poèmes, l’affichage
Créations réalisées par les habitants lors d’ateliers artistiques menées tour à tour par Jean d’Amérique et La Grande Mag.
En collaboration avec le Centre social La comète et les associations des quartiers Politique de la Ville de Montauban : l’ADIAD, l’AMISS, Montauban services et Le pont des savoirs.
Adultes et enfants se sont prêtés au jeu de la création poétique et plastique.
Dans un premier temps, guidés par Jean d’Amérique, ils ont écrit de courts poèmes issus de leur imagination ou composés en « recyclant » les programmes de la saison dernière des salles de spectacle de Montauban. Avec La grande Mag, ils ont découpé puis mis en images et en couleurs leurs textes pour créer de superbes affiches poétiques qui seront offertes aux yeux des passants sur la coulée verte, en cœur de ville ou encore à la Mémo.

La résidence d’écriture « Entre cour et jardin : itinérances » est un projet initié sous l’impulsion de la DRAC Occitanie et la Ville de Montauban. Mis en œuvre par l’association Confluences et la Direction du Développement Culturel et du Patrimoine de la Ville (salles de spectacle et médiathèque Mémo). Soutenu financièrement par la Ville de Montauban, l’agglomération du Grand Montauban, l’Etat (DRAC et Politique de la ville) dans le cadre du contrat de ville.


Voir le rendez-vous du mercredi 22 septembre, Flâneries littéraires et jazzistiques
Voir le rendez-vous du samedi 23 octobre, Clôture de la résidence.

Estelle Sarah Bulle - Là où les chiens aboient par la queue

Cercle de lecture : Estelle-Sarah Bulle

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Le Cercle de lecture du mois d’octobre est consacré à l’ouvrage d’Estelle-Sarah Bulle, Là où les chiens aboient par la queue, Liana Levi 2018
L’autrice sera l’une des invités de la 31ème édition du festival Lettres d’automne.

Pour participer il suffit de nous contacter par le biais du bouton « réserver » ci-dessous.

Ouvert non seulement aux membres de Confluences mais à toutes celles et ceux qui le souhaitent, le Cercle de lecture de Confluences se réunit toutes les 4 à 6 semaines pour débattre autour d’un livre choisi par les participants.

Retrouvez les débats du Cercle de lecture de Confluences sur CFM Radio.

Informations et résumé de l’histoire par l’éditeur
Dans la famille Ezechiel, c’est Antoine qui mène le jeu. Avec son «nom de savane», choisi pour embrouiller les mauvais esprits, ses croyances baroques et son sens de l’indépendance, elle est la plus indomptable de la fratrie. Ni Lucinde ni Petit-Frère ne sont jamais parvenus à lui tenir tête. Mais sa mémoire est comme une mine d’or. En jaillissent mille souvenirs-pépites que la nièce, une jeune femme née en banlieue parisienne et tiraillée par son identité métisse, recueille avidement. Au fil des conversations, Antoine fait revivre pour elle l’histoire familiale qui épouse celle de la Guadeloupe depuis la fin des années 40: l’enfance au fin fond de la campagne, les splendeurs et les taudis de Pointe-à-Pitre, le commerce en mer des Caraïbes, l’inéluctable exil vers la métropole…

Intensément romanesque, porté par une langue vive où affleure une pointe de créole, Là où les chiens aboient par la queue embrasse le destin de toute une génération d’Antillais pris entre deux mondes.

Lire des extraits du livre
Lire l’article de France Info Culture du 04/09/2018

 

Les manifestations se déroulent selon les protocoles sanitaires en vigueur. L’accès au lieu est soumis au pass sanitaire.

Atelier avec Elis Wilk La petite comédie Confluences Montauban

Création de mini-livres accordéons

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Avec l’autrice illustratrice Elis Wilk

Pour ce rendez-vous, Elis Wilk vous invite à découvrir son univers empreint de poésie et de couleurs. Elle évoquera son métier et lira un de ses albums.
Ensuite, ça sera à vous de vous mettre dans la peau d’un auteur-illustrateur et de créer un mini-livre accordéon en vous appuyant sur les consignes d’Elis Wilk !

Dédicaces à la fin de l’atelier.

10€ matériel compris

Les manifestations se déroulent selon les protocoles sanitaires en vigueur. L’accès au lieu est soumis au pass sanitaire.

Flâneries littéraires et jazzistiques

Flâneries littéraires et jazzistiques

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Flâneries littéraires et jazzistiques avec Jean d’Amérique, lauréat de la résidence d’écriture
Accompagné au saxophone par David Haudrechy

Il est des pépites littéraires qui forgent, interrogent, emportent et fédèrent.
Découvrant dans les collections littéraires de la Mémo ces instants précieux, Jean d’Amérique donnera voix à ces textes et auteurs qui rythment son inspiration et sera accompagné au saxophone par David Haudrechy pour une rencontre jazzistique unique.

Gratuit sur réservation auprès de la Mémo : 05-63-91-88-00 ou memo@ville-montauban.fr
Médiathèque Mémo 2 rue Jean Carmet 82000 MONTAUBAN
www.mediatheque-montauban.com

La résidence d’écriture « Entre cour et jardin : itinérances » est un projet initié sous l’impulsion de la DRAC Occitanie et la Ville de Montauban. Mis en œuvre par l’association Confluences et la Direction du Développement Culturel et du Patrimoine de la Ville (salles de spectacle et médiathèque Mémo). Soutenu financièrement par la Ville de Montauban, l’agglomération du Grand Montauban, l’Etat (DRAC et Politique de la ville) dans le cadre du contrat de ville.
> Ces flâneries littéraires et jazzistiques sont proposées dans le cadre de la 3e édition du festival La fabrique du jazz (23 au 26 septembre 2021)

Voir le rendez-vous du samedi 23 octobre, Clôture de la résidence.

 

Les manifestations se déroulent selon les protocoles sanitaires en vigueur. L’accès au lieu est soumis au pass sanitaire.