Archives des Les rendez-vous de Confluences - Confluences

Jeudi poésie : François Cheng

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Les échanges et les discussions de ce Jeudi Poésie seront consacrés à l’œuvre de François Cheng.
Né en Chine en 1929, académicien français, François Cheng poursuit, entre les cultures chinoise et française, une œuvre de passeur. Traducteur, auteur d’essais sur la peinture et la spiritualité, romancier et peintre lui-même, poète avant tout, il met son écriture limpide au service d’une quête de la beauté et de la sagesse. Ses écrits sont richement nourris d’inspi­rations diverses. Imprégnés du mouvement du Tao et d’une méditation sur l’âme, ils traduisent un souci d’harmonie entre l’homme et le cosmos.

Jeudi poésie est un rendez-vous littéraire à La petite comédie animé  par Marie-Claude Astoul et Sylvie Crouzat, membres de l’association Confluences. Lors de cette heure il s’agit de lire et d’échanger autour de la poésie contemporaine et d’en souligner à la fois sa diversité et sa vivacité. Un rendez-vous ouvert à tous : fervents lecteurs de poésie, novices ou curieux ! Venez si vous le souhaitez avec des lectures à partager.

Concours calligrammes

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Un concours volcanique avec Confluences et la Mémo !
Après une courte échappée, Confluences et la médiathèque Mémo sont ravies de vous proposer un concours poétique dans le cadre de la 27e édition du Printemps des poètes, qui se déploie cette année autour du thème La poésie volcanique.

« La poésie est expansive. Sa densité d’énergie et de matière vivante lui permet d’investir constamment de nouveaux territoires ».
(communiqué de presse du Printemps des poètes 2025)

Il s’agira cette fois de mettre en forme un poème à la façon d’Apollinaire : en calligramme ! Le support idéal pour faire jaillir les vers et exprimer les bouillonnements intérieurs. Ce nouveau terrain de jeu poétique sera aussi l’occasion de laisser parler votre créativité et votre audace car, plastiquement, vous aurez carte blanche : manuscrit, numérique, couleur, noir-et-blanc, collages… Tout est possible. Le champ lexical du volcanisme est riche, il y a de quoi dire et illustrer.

Pour participer, rien de plus simple :
– Choisissez un poème, de l’auteur ou de l’autrice de votre choix ou écrit par vos soins, qui fait écho à la thématique La poésie Volcanique
– Transposez ce poème sous forme de calligramme*
– Envoyez votre création – en n’oubliant pas de joindre le poème dactylographié, incluant son titre et son auteur – via le formulaire de participation

Retrouvez le règlement complet et détaillé ci-dessous.

Quelques dates à retenir :
Clôture des participations : dimanche 23 février à minuit
Votes des internautes : les internautes auront du lundi 24 février jusqu’au lundi 3 mars à midi pour voter pour leurs œuvres préférées sur le site de Confluences
Annonce des lauréats sur ce site et remise des prix (prix des internautes et du jury) : mercredi 5 mars à la Mémo

A vous de jouer !

Renseignements auprès de :
Confluences : 05 63 63 57 62 / www.confluences.org / concours@confluences.org
La Mémo : 05 63 91 88 00 / www.mediatheque-montauban.com

* Un calligramme est un texte dont les mots sont disposés de manière à représenter l’objet qui constitue l’un des thèmes ou mot du poème

Les larmes du Yokai, Margo rrenard

Atelier BD avec Margo Renard

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Création d’un strip sur le thème « Fantastique Japon »

L’autrice-illustratrice Margo Renard invite les participants à créer une petite histoire en bande dessinée à partir du thème « Fantastique Japon » au centre de son dernier livre Les larmes du Yōkai. Durant ces deux heures d’atelier, il faudra scénariser, dessiner puis coloriser un strip de quatre cases simplement à l’aide de crayons.
Matériel fourni.
Présence de la librairie jeunesse de Montauban Le bateau livre


Les larmes du YokaiLes larmes du Yōkai
Scénario Loïc Clément, Stéphane Benoît, Grelin, illustration Margo Renard (Glénat, 2024)
Dans un Japon médiéval fantasmé, Caleb est un gaijin qui sillonne l’île d’Onogoro armé de sa Larme – katana légendaire contenant l’âme d’un Yōkai – et accompagné de son fidèle domestique et souffre-douleur Doglass. Ensemble ce duo d’enquêteurs atypique proposent leur services pour résoudre des affaires qui dépassent l’entendement.

Cercle de lecture : Magda Szabò

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Les membres du Cercle de lecture ont choisi de débattre autour du roman de l’autrice hongroise Magda Szabò : La porte (Viviane Hamy,  2005 – traduction signée Chantal Philippe). Ce chef-d’œuvre de la littérature hongroise dont le succès fut mondial, prix Femina étranger en 2003, a également été élu meilleur livre de l’année 2015 par le New York Times.
« Une remarquable romancière ». Le Monde des livres.
« Un livre original, superbe, émouvant ». Le Figaro.
« Un roman et un auteur, mais aussi, ce qui est plus rare, un personnage qu’on n’oubliera jamais ». Libération.

Présentation du livre
« C’est moi qui ai tué Emerence. Je voulais la sauver, non la détruire, mais cela n’y change rien. » La Porte est une confession. La narratrice y retrace sa relation avec Emerence Szeredás, qui fut sa domestique pendant vingt ans. Tous les oppose : l’une est jeune, l’autre âgée ; l’une sait à peine lire, l’autre ne vit que par les mots ; l’une est forte tête mais d’une humilité rare, l’autre a l’orgueil de l’intellectuelle. Emerence revendique farouchement sa liberté, ses silences, sa solitude, et refuse à quiconque l’accès à son domicile. Quels secrets se cachent derrière la porte ?

Lire un extrait

Ouvert non seulement aux membres de Confluences mais à toutes celles et ceux qui le souhaitent, le Cercle de lecture de Confluences se réunit toutes les 4 à 6 semaines pour débattre autour d’un livre choisi par les participants.
Retrouvez les débats du Cercle de lecture de Confluences dans leur émission sur CFM Radio.

 

 

Jeanne Benameur : Vers l’écriture

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Evènement complet. Nous ne prenons plus de réservation.
Cependant, cette rencontre est un évènement gratuit et il peut y avoir des désistements de dernière minute. S’il reste des places de libre il sera possible d’assister à la rencontre sans réservation.
La rencontre est avancée à 14h (et non 14h30, comme prévu initialement).

Nous avons la grande joie de retrouver Jeanne Benameur, complice de longue date de Lettres d’automne et de Confluences, pour deux rencontres à l’occasion de la parution de ses derniers livres : l’une jeudi 30 janvier autour de son roman Vivre tout bas et de son recueil de poésie Nous vous parlons d’amour, et l’autre samedi 1er février autour du récit de transmission intitulé Vers l’écriture.

— Vers l’écriture (éditions Actes Sud)
Pour Jeanne Benameur, écrire est une manière d’être vivant, une présence au monde, un chemin vers la pensée où trouver force et liberté. Dans ce texte puissamment personnel, l’auteure de Profanes et de La Patience des traces partage sa méthode de l’atelier d’écriture, radicale et singulière, et raconte sa patiente élaboration, fruit d’une vie de travail sur la matière du langage. Manifeste contre toute complaisance, viatique contre la peur et geste politique, un récit de transmission amical et généreux.

Ce livre s’inscrit dans le prolongement d’un séminaire qu’elle avait mené à Montauban en 2014-2015.

Lire un extrait du livre sur le site d’Actes Sud

 

Cette rencontre est proposée en partenariat avec la librairie La femme renard, qui présentera les livres de Jeanne Benameur.

Jeanne Benameur : Vivre tout bas

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Évènement complet. Nous ne prenons plus de réservation.
Cependant, cette rencontre est un évènement gratuit et il peut y avoir des désistements de dernière minute. S’il reste des places de libre il sera possible d’assister à la rencontre sans réservation. La rencontre est avancée à 14h (et non 14h30, comme prévu initialement).

Nous avons la grande joie de retrouver Jeanne Benameur, complice de longue date de Lettres d’automne et de Confluences, pour deux rencontres à l’occasion de la parution de ses derniers livres : l’une jeudi 30 janvier autour de son roman Vivre tout bas et de son recueil de poésie Nous vous parlons d’amour (animée par Caroline de la librairie La femme renard) et l’autre samedi 1er février autour du récit de transmission intitulé Vers l’écriture.

— Vivre tout bas (éditions Actes Sud)
Entre vagues et falaises, comme née du paysage, une femme apparaît au bord de la mer, portée par un chagrin plus grand qu’elle. Le livre raconte sa prise d’élan vers une autre version d’elle-même, une évasion : Marie, mère et sainte, s’affranchit ici doucement mais sûrement de l’iconographie qui la fige. Et de la liturgie qui lui coupe la parole. Elle se découvre aussi, à la rencontre des autres, de ceux – proches ou lointains, présents ou futurs – qui ne laisseront pas de traces ailleurs que dans la mémoire des vivants. Le roman comme un affût.
Lire un extrait sur le site d’Actes Sud
Jeanne Benameur évoque la genèse de son nouveau roman [vidéo]

— Nous vous parlons d’amour (éditions Bruno Doucey)
« Ils sont là, face à moi, face au monde. » De qui Jeanne Benameur parle-t-elle au seuil de ce livre de poésie porté à la scène par des personnes qui sont allées chercher loin leur humanité à travers les épreuves de leur vie ? D’abord des comédiens qu’elle a rencontrés au moment d’écrire ce texte, et qui l’ont inspirée. Mais aussi des personnages qui viennent frapper à la porte de son imagination et de sa mémoire, ces voix qui font entendre leur singularité, chacune bien arrimée à sa propre histoire et à son existence. Il y a celle qui hait son désir de vivre parce qu’elle a trop subi ; celui ou celle qui rêve de s’envoler comme un oiseau ; ceux que la violence du monde terrorise. Seul, chacun vacille et semble fragile. Mais ensemble, réunis dans un même texte, ils font corps et forment une communauté qui donne foi en la nature humaine.

Extrait :
« Nous parlons d’amour tout bas dans nos têtes
en marchant dans les villes
en croisant des visages
en mettant nos pas peut-être dans les vôtres

nous sommes tous du même monde
celui des humains
au cœur violent
au cœur timide
au cœur parfois perdu
et pourtant battant
toujours battant »

En savoir plus sur le site des éditions Bruno Doucey

 

Cette soirée est proposée en partenariat avec la librairie La femme renard qui présentera les livres de Jeanne Benameur.

BD concert Waï Waï La forêt millénaire

La forêt millénaire

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BD Concert avec Waï Waï
Erwan Martinerie  (violoncelle), Yannis Quillaud (guitare, claviers), Laurent Duflanc (basse), Éloi Brignaudy et Yannick Leboeuf (création vidéo et lumière), Thomas Charrier (crédit photo/vidéo).
d’après La forêt millénaire de Jirô Taniguchi (Rue de Sèvres, 2017  – traduction Corinne Quentin)
Une coproduction Confluences / Eidos / Le Rio

Confluences, le Rio et Eidos proposent une nouvelle soirée BD-Concert !
Une exploration visuelle et sonore, c’est le programme proposé par ce BD-concert au fil du voyage dans les cases de La forêt millénaire de Jirô Taniguchi.
Au plus près des textures tout en impressionnisme qui se dégagent des dessins expressifs et du fin travail d’aquarelle développé par l’auteur, le trio formé par Erwan, Laurent et Yannis compose avec cette même sensibilité la bande son rêvée pour accompagner Wataru, jeune héros citadin bouleversé par un exil contraint vers la campagne japonaise.
Les ambiances cinématographiques basculent subtilement, accompagnent l’évolution du personnage central, nous communiquent ses émotions.
Les compositions sont portées par une texture sonore qui se développe autour de nappes de synthé en une bande son envoûtante ou chaque instrument trouve l’espace nécessaire à son expression. La basse distille des mélodies voluptueuses, des touches de guitare viennent parfois déchirer l’horizon avant que le violoncelle ne redonne quelques points de repère salvateurs.
Cette expérience nous fait ressentir la force surnaturelle que communique la forêt au jeune héros. Saura-t- elle éclairer le destin de Wataru ?.

Cinéma La Muse à Bressols
BD concert à partir de 7 ans  / 50 min
Ouverture des portes à 19h45 ; BD Concert à 20h30

Pré-vente : 12€ billetterie en ligne via Le Rio
Sur place : 15€ plein tarif
Renseignements auprès de Confluences : 05 63 63 57 62 / Eidos cinéma : 05 63 63 44 74 / Le Rio : 05 63 91 19 19

Covoiturage : partagez votre trajet sur Festicar

Le livre
La forêt millénaire
de Jirô Taniguchi (Rue de Sèvres, 2017  – traduction Corinne Quentin)

Dernière création de Jirô Taniguchi, cette bande dessinée en couleurs occupe une place à part dans l’œuvre du maître.
Suite au divorce de ses parents et à la maladie de sa mère, Wataru est accueilli par ses grands-parents. Pour le jeune garçon tokyoïte, cette nouvelle vie à la campagne est un bouleversement. Il découvre sa nouvelle école, son nouvel environnement. La forêt en particulier l’impressionne et semble lui communiquer une force presque surnaturelle, venue du fonds des âges. Lorsqu’il devra faire ses preuves face au groupe d’enfants qui le mettent au défi, c’est d’elle que lui viendra un courage intérieur qui lui était inconnu. Les pages en couleurs et à l’italienne de Jirô Taniguchi nous invitent à la contemplation de cette nature séculaire. Elles sont complétées par un entretien poussé avec l’éditeur japonais de Jirô Taniguchi et du matériel inédit provenant des carnets personnels de l’auteur. Lire un extrait du livre
Sur place, présentation et vente de bandes-dessinées par la librairie La femme renard

 

Les vœux des Passions en musique !

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La petite comédie reçoit Les Passions

Conversation complice entre deux instruments et deux musiciens, Flavio Losco au violon et Jean-Marc Andrieu à la flûte à bec, tel est le principe de ce programme convivial.
Des pièces en duo de Couperin, Corelli, Telemann et C.-P.-E. Bach témoignent de l’art de la conversation amicale.
Comme à l’époque baroque la transcription permet de s’approprier une grande partie du répertoire.

Suivi d’un verre de l’amitié.

Concert offert par Les Passions sur réservation par mail dans la limite des places disponibles :  production@les-passions.fr (en précisant la date de votre choix)
www.les-passions.fr

Les vœux des Passions en musique !

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La petite comédie reçoit Les Passions

Conversation complice entre deux instruments et deux musiciens, Flavio Losco au violon et Jean-Marc Andrieu à la flûte à bec, tel est le principe de ce programme convivial.
Des pièces en duo de Couperin, Corelli, Telemann et C.-P.-E. Bach témoignent de l’art de la conversation amicale.
Comme à l’époque baroque la transcription permet de s’approprier une grande partie du répertoire.

Suivi d’un verre de l’amitié.

Concert offert par Les Passions sur réservation par mail dans la limite des places disponibles :  production@les-passions.fr (en précisant la date de votre choix)
www.les-passions.fr

Illustration du cercle de lecture de Confluences, Montauban, livre de Lucia Berlin

Cercle de lecture : Lucia Berlin

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Suivant les conseils de l’invité d’honneur des Lettres d’automne 2024, Sylvain Prudhomme, les membres du Cercle de lecture ont choisi de débattre autour du recueil de nouvelles de l’autrice américaine Lucia Berlin : Manuel à l’usage des femmes de ménage (Grasset, 2017 – traduction de l’américain par Valérie Malfoy)
« Quarante-trois nouvelles, quarante-trois petits chefs-d’œuvre ! » La Repubblica

Présentation du livre
La publication de Manuel à l’usage des femmes de ménage révèle un grand auteur et un destin exceptionnel : Lucia Berlin, mariée trois fois, mère de quatre garçons, nous raconte ses multiples vies en quarante-trois épisodes. Élevée dans les camps miniers d’Alaska et du Midwest, elle a été successivement une enfant solitaire au Texas durant la Seconde Guerre mondiale, une jeune fille riche et privilégiée à Santiago du Chili, une artiste bohème vivant dans un loft new-yorkais au milieu des années 50 et une infirmière aux urgences d’Oakland. Avec un délicat mélange d’humour, d’esprit et de mélancolie, Berlin saisit les miracles du quotidien jusque dans les centres de désintoxication du sud-ouest des États-Unis, elle égrène ses conseils avisés et loufoques tirés de ses propres expériences d’enseignante, standardiste, réceptionniste, ou encore femme de ménage.
Dix ans après la mort de l’autrice, la découverte de Manuel à l’usage des femmes de ménage a constitué un événement littéraire majeur aux États-Unis, puis dans le monde entier. Comparée par la critique américaine à Raymond Carver et Alice Munro, Lucia Berlin est une grande écrivaine injustement méconnue, une maîtresse de la narration qui se nourrit du réel pour émerveiller son lecteur.

« Lucia Berlin est sans doute le meilleur écrivain dont vous n’avez jamais entendu parler… » Publishers Weekly
« Les nouvelles de Madame Berlin font s’émerveiller des imprévus de l’existence. C’est ça un grand écrivain. » The New York Times

Lire un extrait

Ouvert non seulement aux membres de Confluences mais à toutes celles et ceux qui le souhaitent, le Cercle de lecture de Confluences se réunit toutes les 4 à 6 semaines pour débattre autour d’un livre choisi par les participants.
Retrouvez les débats du Cercle de lecture de Confluences dans leur émission sur CFM Radio.