Archives des Les rendez-vous de Confluences - Page 15 sur 36 - Confluences

Clôture de la résidence

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Clôture de la résidence d’écriture « Entre cour et jardin : itinérances » avec Jean d’Amérique

Rencontre et lecture avec Jean d’Amérique, les artistes associés à la résidence d’écriture et les publics ayant participé aux ateliers de médiation.
Réservation obligatoire auprès du Théâtre Olympe de Gouges 05 63 21 02 40

La résidence d’écriture « Entre cour et jardin : itinérances » est un projet initié sous l’impulsion de la DRAC Occitanie et la Ville de Montauban. Mis en œuvre par l’association Confluences et la Direction du Développement Culturel et du Patrimoine de la Ville (salles de spectacle et médiathèque Mémo). Soutenu financièrement par la Ville de Montauban, l’agglomération du Grand Montauban, l’Etat (DRAC et Politique de la ville) dans le cadre du contrat de ville.

Voir le rendez-vous du mercredi 22 septembre, Flâneries littéraires et jazzistiques.

 

Les manifestations se déroulent selon les protocoles sanitaires en vigueur. L’accès au lieu est soumis au pass sanitaire.

Cercle de lecture : George Eliot

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Le Cercle de lecture de la rentrée est consacré à l’ouvrage de George Eliot, Middlemarch, Gallimard, Folio classique, 2005 (1 152 pages !)

Pour participer il suffit de nous contacter par le biais du bouton « réserver » ci-dessous.

Ouvert non seulement aux membres de Confluences mais à toutes celles et ceux qui le souhaitent, le Cercle de lecture de Confluences se réunit toutes les 4 à 6 semaines pour débattre autour d’un livre choisi par les participants.

Retrouvez les débats du Cercle de lecture de Confluences sur CFM Radio.

Informations et résumé de l’histoire par l’éditeur
Middlemarch (1871-1872) est sans doute le plus beau roman de George Eliot, en tout cas son roman le plus complet (le sixième sur sept). Deux intrigues sentimentales principales, l’histoire des deux mariages de Dorothea et le mariage malheureux de Lydgate, jeune médecin ambitieux, avec la vulgaire Rosamond Vincy, se détachent sur un fond foisonnant de personnages et d’événements, d’épisodes intéressants, amusants, émouvants. Un des charmes de George Eliot est dans cette surabondance de détails.

Préface signée Virginia Woolf
« L’issue fut triomphale pour elle, quel qu’ait pu être le destin de ses créatures ; et quand nous nous rappelons tout ce qu’elle a osé, tout ce qu’elle a accompli, la façon dont, malgré tous les obstacles qui jouaient contre elle (le sexe, la santé, les conventions), elle a cherché toujours plus de savoir, toujours plus de liberté jusqu’au jour où le corps, accablé par son double fardeau, s’effondra, épuisé, nous devons poser sur sa tombe toutes les brassées de lauriers et de roses que nous possédons. »

Lire des extraits du livre
Lire l’article de Marianne en date du 22 décembre 2020

Jean d'Amérique à Montauban (82) en 2021

Dédicaces avec Jean d’Amérique

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A la librairie La femme renard

En résidence d’écriture à Montauban, retrouvez Jean d’Amérique pour un dernier rendez-vous avant son départ.
Un temps d’échanges informels et de dédicaces autour des livres est proposé au public et aux lecteurs à la librairie La femme renard.

La résidence d’écriture « Entre cour et jardin : itinérances » est un projet initié sous l’impulsion de la DRAC Occitanie et la Ville de Montauban. Mis en œuvre par l’association Confluences et la Direction du Développement Culturel et du Patrimoine de la Ville (salles de spectacle et médiathèque Mémo). Soutenu financièrement par la Ville de Montauban, l’agglomération du Grand Montauban, l’Etat (DRAC et Politique de la ville) dans le cadre du contrat de ville.

• Voir le journal de la résidence

Programmation public scolaire 2021-2022

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Tout au long de l’année, Confluences propose une programmation pour le public scolaire, de la maternelle à l’université.
Par l’organisation de rencontres, lectures, spectacles, animations ou ateliers adaptés au jeune public, ces manifestations offrent une occasion privilégiée d’échanges et de découvertes artistiques.

Pour l’année scolaire 2021-2022 , ce programme s’articulera autour de trois projets :

Festival Lettres d’Automne : rencontres avec des auteurs et illustrateurs, lectures, spectacles, animations (tous niveaux)
Plaisir de lire : animations littéraires thématiques dans les collèges du Tarn-et-Garonne
Une année de vive voix : projet autour de la lecture à voix haute à destination des collèges du Tarn-et-Garonne et lycées de la Région

Ce programme est présenté lors de réunions d’information ouvertes aux enseignants, documentalistes et chefs d’établissements de tous niveaux :

RÉUNION D’INFORMATION POUR LES ÉCOLES MATERNELLES ET PRIMAIRES
Le mercredi 23 juin 2019 à 14h30
à La petite comédie – 41 rue de la comédie – Montauban

 

RÉUNION D’INFORMATION POUR LES COLLÈGES ET LYCÉES
Le mercredi 23 juin 2019 à 17h
à La petite comédie – 41 rue de la comédie – Montauban

 

Merci de confirmer votre présence auprès de Confluences : 05 63 63 57 62 / scolaire@confluences.org
Ces deux réunions seront aussi retransmises via Zoom (codes de connexion sur demande)

Mathias Enard dans Lettres d'Automne, le podcast

Épisode 4 – Mathias Enard

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Entretiens avec Mathias Énard et Anne Weber, par Brice Torrecillas
Lecture d’extraits de Le banquet annuel de la confrérie des fossoyeurs (Actes Sud) et Dernière communication à la société proustienne de Barcelone : Pamirs (Inculte) par Maurice Petit et Nathalie Vidal

Pour ce quatrième et dernier épisode de la première saison du podcast de Lettres d’Automne, Mathias Énard sera notre convive. « Convive » n’étant pas un mot choisi par hasard pour l’auteur du Banquet annuel de la confrérie des fossoyeurs, son dernier roman paru chez Actes Sud. Prix du Livre Inter 2009 pour Zone, prix Goncourt des Lycéens 2010 pour Parle-leur de batailles, de rois et d’éléphants, prix Goncourt 2015 pour Boussole (liste non exhaustive) Mathias Énard ne se borne pas à ce travail de romancier : il est ou a été scénariste de BD, d’un roman graphique, poète, contributeur de revues culturelles, animateur radio sur France Culture, à quoi on pourrait ajouter sa passion pour l’art contemporain et pour la gastronomie – il dirige son restaurant libanais, le Karakala, situé sur les hauteurs de Barcelone. N’oublions surtout pas sa passion des langues qui irrigue toute son œuvre et l’a conduit à traduire deux ouvrages, l’un du persan, l’autre de l’arabe.
Dans cet épisode, nous avons souhaité inviter aussi à notre table Anne Weber, écrivaine et traductrice qui a la particularité de traduire elle-même ses propres ouvrages de l’allemand au français.
Les mises en bouche sont assurées par Maurice Petit et de Nathalie Vidal avec leur lecture d’un extrait de ce livre sur lequel plane l’ombre de Rabelais, Le Banquet annuel de la confrérie des fossoyeurs, notamment.

Le banquet annuel de la confrérie des fossoyeurs
Texte de Mathias Énard (éditions Actes Sud, 2020)
Pour les besoins d’une thèse sur « la vie à la campagne au XXIe siècle », l’apprenti ethnologue David Mazon a quitté Paris et pris ses quartiers dans un modeste village fictif au bord du Marais poitevin. Logé à la ferme, bientôt pourvu d’une mob propice à ses investigations, s’alimentant au Café-Épicerie-Pêche et puisant le savoir local auprès de l’aimable Maire – également fossoyeur –, le nouveau venu entame un journal de terrain, consigne petits faits vrais et mœurs autochtones, bien décidé à circonscrire et quintessencier la ruralité.
Mais déjà le Maire s’active à préparer le Banquet annuel de sa confrérie – gargantuesque ripaille de trois jours durant lesquels la Mort fait trêve pour que se régalent sans scrupule les fossoyeurs – et les lecteurs – dans une fabuleuse opulence de nourriture, de libations et de langage. Car les saveurs de la langue, sa rémanence et sa métamorphose, sont l’épicentre de ce remuement des siècles et de ce roman hors normes, aussi empli de truculence qu’il est épris de culture  populaire, riche de mémoire, fertile en fraternité.

Production de l’épisode : Confluences / Réalisation : Qude / Entretiens :  Brice Torrecillas / Lecture : Le banquet annuel de la confrérie des fossoyeurs (Actes Sud) et Dernière communication à la société proustienne de Barcelone : Pamirs (Inculte) lus par Maurice Petit et Nathalie Vidal/ Musique du générique : Alexis Kowalczewski

 

Livres cités dans cet épisode :
Le banquet annuel de la confrérie des fossoyeurs, Mathias Enard, Actes Sud, 2020
Dernière communication à la société proustienne de Barcelone, Mathias Enard, Inculte, 2016
Le grand dictionnaire de la cuisine, Alexandre Dumas
Annette, une épopée, Anne Weber, Seuil, 2020

Épisode à découvrir à partir du 17 juin 2021
L’ensemble de la saison 1 est à écouter sur notre page podcast et sur les applications de podcast habituelles (Apple podcast, Spotify, etc.)

Épisode 3 – Patrick Chamoiseau

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Entretiens avec Patrick Chamoiseau et Mario Canonge, par Brice Torrecillas
Lecture d’extraits de Frères Migrants (éditions du Seuil) par Maurice Petit

« À la croisée des langues, littératures françaises d’ici et d’ailleurs » , sur un tel sujet, comment ignorer l’apport essentiel de Patrick Chamoiseau ? Prix Carbet de la Caraïbe et du Tout-Monde, prix Goncourt pour Texaco, le co-auteur de L’Éloge de la créolité définit le langage comme « le désir-imaginant de toutes les langues du monde ».
Dans cet épisode, nous l’entendrons notamment évoquer les mystères de la création, et nous franchirons en sa compagnie les frontières poreuses de la littérature pour rejoindre son ami martiniquais, le pianiste de jazz, Mario Canonge.

En ouverture, nous entendrons la lecture par Maurice Petit d’un extrait du discours qu’a prononcé Patrick Chamoiseau en janvier 2020 alors qu’il inaugurait sa Chaire d’écrivain en résidence de Sciences Po. Un texte qui fait part, selon ses propres mots, « d’une formidable énigme » qu’il continue d’explorer dans son tout dernier livre paru au Seuil, Le Conteur, la nuit et le panier.
Et enfin, des extraits de son essai poétique Frères Migrants, toujours lus par Maurice Petit, viendront conclure l’épisode.

Frères migrants
Texte de Patrick Chamoiseau (éditions du Seuil, 2018)
“ La poésie n’est au service de rien, rien n’est à son service. Elle ne donne pas d’ordre et elle n’en reçoit pas. Elle ne résiste pas, elle existe — c’est ainsi qu’elle s’oppose, ou mieux : qu’elle s’appose et signale tout ce qui est contraire à la dignité, à la décence. À tout ce qui est contraire aux beautés relationnelles du vivant. Quand un inacceptable surgissait quelque part, Édouard Glissant m’appelait pour me dire : « On ne peut pas laisser passer cela ! » Il appuyait sur le « on ne peut pas ». C’était pour moi toujours étrange. Nous ne disposions d’aucun pouvoir. Nous n’étions reliés à aucune puissance. Nous n’avions que la ferveur de nos indignations. C’est pourtant sur cette fragilité, pour le moins tremblante, qu’il fondait son droit et son devoir d’intervention. Il se réclamait de cette instance où se tiennent les poètes et les beaux êtres humains. Je ne suis pas poète, mais, face à la situation faite aux migrants sur toutes les rives du monde, j’ai imaginé qu’Edouard Glissant m’avait appelé, comme m’ont appelé quelques amies très vigilantes. Cette déclaration ne saurait agir sur la barbarie des frontières et sur les crimes qui s’y commettent. Elle ne sert qu’à esquisser en nous la voie d’un autre imaginaire du monde. Ce n’est pas grand-chose. C’est juste une lueur destinée aux hygiènes de l’esprit. Peut-être, une de ces lucioles pour la moindre desquelles Pier Paolo Pasolini aurait donné sa vie.”  Patrick CHAMOISEAU

Production de l’épisode : Confluences / Réalisation : Qude / Entretiens :  Brice Torrecillas / Musiques : Mario Canonge / Lecture : « Le conteur, la nuit et le panier : extraits du discours inaugural de la Chaire d’écrivain en résidence à Sciences Po » et de « Frères Migrants » de Patrick Chamoiseau (éditions du Seuil)  lus par Maurice Petit / Musique du générique : Alexis Kowalczewski

Livres cités dans cet épisode :

La matière de l’absence, Patrick Chamoiseau Seuil, 2016
Frères Migrants, Patrick Chamoiseau, Seuil, 2018
Le Conteur, la nuit et le panier, Patrick Chamoiseau Seuil, 2021
Eloge de la Créolité, Jean Bernabé, Patrick Chamoiseau, Raphaël Confiant, Gallimard, 1989
Eloges, Saint-John Perse, Gallimard, 1967
Cahier d’un retour au pays natal, Aimé Césaire, éditions Présence Africaine, 2000
La Lézarde, Edouard Glissant, Seuil, 1995

Épisode à découvrir à partir du 10 juin 2021
L’ensemble de la saison 1 est à écouter sur notre page podcast et sur les applications de podcast habituelles (Apple podcast, Spotify, etc.)

Léonora Miano dans Lettres d'Automne, le podcast

Épisode 2 – Léonora Miano

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Entretiens avec Léonora Miano, Aminata Aïdara, Sofia Aouine, Salomé Berlemont-Gilles et Gaël Octavia,
par Brice Torrecillas

Dans cet épisode, nous aurons le plaisir d’accueillir Léonora Miano dont l’œuvre prolifique explore inlassablement des thématiques liées aux expériences subsahariennes et afrodescendantes. C’est le cas dans son dernier roman, Rouge impératrice, comme dans son dernier essai, Afropea. Utopie post-occidentale et post-raciste, tous deux parus chez Grasset. Prix Goncourt des lycéens en 2006 pour Contours du jour qui vient, Prix Seligmann 2012 pour Écrits pour la parole, Prix Femina 2013 pour son roman La Saison de l’ombre, Léonora Miano a également reçu en 2011 le grand prix littéraire de l’Afrique noire pour l’ensemble de son œuvre.
Nous la retrouvons ici entourée de quatre autrices – Aminata Aïdara, Sofia Aouine, Salomé Berlemont-Gilles et Gaël Octavia – qu’elle avait souhaité convier à Lettres d’Automne. Un dialogue à cinq voix où il sera tout à la fois question de Faulkner, de Shakespeare, de Simone de Beauvoir, de jazz, d’une nouvelle maison d’éditions, de la liberté d’écrire là où l’on ne vous attend pas…

Et pour terminer nous recevons un très beau cadeau : Léonora Miano nous offre la lecture d’extraits de Passages, une série inédite d’instantanés de la vie togolaise qu’elle a saisis au printemps 2020, durant la période de confinement planétaire.

Passages, Le récit de la ville 1
de et par  Léonora Miano
Au printemps 2020, alors que la pandémie due au covid-19 paralyse la planète, Le Temps, quotidien suisse, sollicite la parole des écrivains. Invitée à écrire au sujet de cet événement dont on ne peut encore mesurer la portée, Léonora Miano compose Passages, une série de portraits, de tranches de vie témoignant de l’impact de la pandémie sur les habitants de Lomé, capitale du Togo où elle réside.
La question de la circulation s’impose très tôt, dans cette région ouest africaine connue pour son dynamisme commercial, lequel dépend évidemment de la possibilité d’aller et venir. Passages, c’est donc d’abord cela, une présentation de la manière dont la mobilité des uns et des autres est soudain contrariée.
Puis, la ville elle-même se met à parler. Il se pourrait d’ailleurs qu’elle soit la narratrice de l’ensemble. La suite de portraits s’interrompt par moments pour faire entendre les réflexions de Lomé, une description plus immédiate de cette étrange situation. Le récit de la ville se compose de trois parties. La première, qui s’intéresse au début de la pandémie, est l’objet de cette lecture.
Chacun des mouvements est introduit par des ambiances locales, bruits de la ville, appel des taxis motos, conversations, chants…

Passages, Le récit de la ville (1), a été enregistré au studio Colibri à Lomé.
Ingénieur du son : Rodrigue Bellow / Bruitages : Rodrigue Bellow / Dialogue zemidjan (conducteur de moto taxi) et dealer de Tramadol : Michael Olufade (zem), Gracia Zanklassou (dealer) /  Musiques : Akpe (chant religieux entendu après un prêche de rue)  Paroles et musiques par Isaac Dogbo, Chanté par Rodi Ade ; Edo egne ame (chanson que le zem entend dans un bar de plage)  Paroles, musique et chant par Rodi Ade, Arrangements par Rodrigue Bellow et Michael Olufade / Sossignalé (conclusion) Par Elom 20ce, album Indigo /
Écriture, lecture et autres voix : Léonora Miano

Production de l’épisode : Confluences / Réalisation : Qude / Entretiens :  Brice Torrecillas / Musique du générique : Alexis Kowalczewski

Livres cités dans cet épisode :
Afropea, Léonora Miano, Grasset, 2020
Rouge Impératrice, Léonora Miano, Grasset, 2019
La Saison de l’ombre, Léonora Miano, Grasset, 2013
Contours du jour qui vient, Léonora Miano, Plon, 2006
Je suis quelqu’un, Aminata Aïdara, Gallimard, 2018
Rhapsodie des oubliés, Sofia Aouine, La Martinière, 2019
Le Premier qui tombera, Salomé Berlemont-Gilles, Grasset, 2020
La bonne histoire de Madeleine Démétrius, Gaël Octavia, Gallimard, 2020
Le deuxième sexe, Simone de Beauvoir, Gallimard, 1949

Épisode à découvrir à partir du 3 juin 2021
L’ensemble de la saison 1 est à écouter sur notre page podcast et sur les applications de podcast habituelles (Apple podcast, Spotify, etc.)

Lettres d'automne, le podacast du festival

Épisode 1 – « A la croisée des langues… »

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Entretiens avec Léonora Miano, Patrick Chamoiseau et Mathias Enard, par Brice Torrecillas Lecture d’extraits de Les langues et les chants d’Hubert Haddad, par Maurice Petit

Dans ce premier épisode autour du thème « À la croisée des langues, littératures françaises d’ici et d’ailleurs » , les auteurs Léonora Miano, Patrick Chamoiseau et Mathias Énard dialoguent avec nous, la première depuis Lomé, au Togo, le deuxième depuis Fort-de-France, et le troisième depuis son Poitou natal. Issus de continents différents mais réunis par le goût d’abolir les frontières, ils inventent tous trois des langages nouveaux et témoignent de la façon dont la littérature accueille les diversités du monde. Cet épisode est également ponctué de lectures d’extraits, par Maurice Petit, d’un texte inédit d’Hubert Haddad, «  Les langues et les chants » , écrit spécialement à l’occasion du festival 2020.

Épisode à découvrir à partir du 27 mai 2021
L’ensemble de la saison 1 est à écouter sur notre page podcast et sur les applications de podcast habituelles (Apple podcast, Spotify, etc.)

Production de l’épisode : Confluences / Réalisation : Qude / Entretiens :  Brice Torrecillas /Lecture : texte d’Hubert Haddad (inédit) lu par Maurice Petit / Musique du générique : Alexis Kowalczewski

 

Atelier d'écriture avec Jean d'Amérique "objectif : poème"

Objectif poème

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Imaginé et animé par Jean d’Amérique dans le cadre de la résidence d’écriture « Entre cour et jardin : itinérances »

Cet atelier d’écriture poétique imaginé et animé par Jean d’Amérique propose d’arpenter les recoins du territoire montalbanais, en écrivant à partir de photos/images inédites qui seront prises par les habitants et l’auteur.
Nous ferons ainsi une traversée poétique de la ville de Montauban et de ses lieux, en quête de ses lumières intimes et de ses vies insoupçonnées.

Les places sont limitées, il est indispensable de réserver !

Projet initié sous l’impulsion de la DRAC Occitanie et la Ville de Montauban. Mis en œuvre par l’association Confluences et la Direction du Développement Culturel et du Patrimoine de la Ville (salles de spectacle et médiathèque Mémo). Soutenu financièrement par la Ville de Montauban, l’agglomération du Grand Montauban, l’Etat (DRAC et Politique de la ville) dans le cadre du contrat de ville.

• Voir l’autre rendez-vous avec Jean d’Amérique le mardi 1er juin, A la rencontre de Jean d’Amérique

À la rencontre de Jean d’Amérique

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Lancementde la résidence d’écriture « Entre cour et jardin : itinérances »
Lecture musicale avec Jean d’Amérique et Alexis Kowalczewski suivie d’une rencontre animée par la librairie La femme renard

Poète, dramaturge et romancier, Jean d’Amérique porte haut les couleurs de la nouvelle génération d’écrivains haïtiens.
À peine âgé de 27 ans, il a publié plusieurs recueils de poèmes ainsi qu’une pièce de théâtre, salués par plusieurs prix littéraires, et a co-fondé un festival international de poésie à Port-au-Prince. Son premier roman, Soleil à coudre (éditions Actes Sud, 2021), âpre et poétique, a été très remarqué par la critique.
Au cours d’une résidence de création et de médiation de dix semaines, Jean d’Amérique va s’immerger au cœur même de notre territoire pour en attraper les « étincelles », il ira à la rencontre de divers publics et explorera plus particulièrement l’univers des salles de spectacle de la Ville (le théâtre Olympe de Gouges et Eurythmie) qu’il nous fera découvrir autrement.

Pour ce premier rendez-vous montalbanais, il nous invite à une traversée dans ses textes, entre poésie, théâtre et roman, par une lecture musicale avec Alexis Kowalczewski puis par un échange avec Aude Samarut de la librairie La femme renard.

Un temps de dédicaces sur le stand de la librairie viendra clore cette soirée.

Réservation auprès du Théâtre Olympe de Gouges : 05 63 21 02 40

Projet initié sous l’impulsion de la DRAC Occitanie et la Ville de Montauban. Mis en œuvre par l’association Confluences et la Direction du Développement Culturel et du Patrimoine de la Ville (salles de spectacle et médiathèque Mémo). Soutenu financièrement par la Ville de Montauban, l’agglomération du Grand Montauban, l’Etat (DRAC et Politique de la ville) dans le cadre du contrat de ville.

• Voir l’autre rendez-vous avec Jean d’Amérique, atelier Objectif : poème, le jeudi 17 juin