Les membres du Cercle de lecture se penchent sur Étoile distante un roman de Roberto Bolaño, auteur maintes fois cité par les invités d’honneur du dernier festival et Lettres d’automne Alice Zeniter & Pierre Ducrozet. Pour participer aux échanges du Cercle de lecture, il suffit de nous contacter par le biais du bouton « réserver » ci-dessous.
Informations et résumé de l’histoire par l’éditeur Roberto Bolaño a écrit un étrange roman noir qui mêle art, histoire et horreur.
Un jeune homme, séduisant et mystérieusement lointain, se présente dans un atelier d’écriture que suit le narrateur dans une ville provinciale du Chili. Le coup d’État de Pinochet donne l’occasion à cet étrange artiste de mettre en pratique sa conception radicale de l’art de la cruauté, en assassinant quelques femmes de sa connaissance dans des circonstances que le lecteur, comme le narrateur, ne peuvent qu’imaginer. Étoile distante est aussi une prolifération tourbillonnante d’histoires qui accompagnent ce récit sur la démence et le mal. Histoires folles, invraisemblables, traversées de rumeurs invérifiables, comme autant de visions égarées de ceux que l’histoire du Chili a brisés, d’épisodes cruels et pathétiques où l’espace de quelques pages des monstres terriblement (in)humains s’ébrouent. Roberto Bolaño exerce son sens de l’humour, son goût de la parodie et sa singulière imagination, dans le foisonnement et les bifurcations vertigineuses de ces récits soufflés par l’histoire ou l’exil, et nous livre une méditation sur le mal dans ce qu’il a de plus fascinant et sobrement médiocre, mais aussi sur son rapport à la littérature.
Traduit de l’espagnol (Chili) par Robert Amutio.
Editions Christian Bougeois, 2002
Ouvert non seulement aux membres de Confluences mais à toutes celles et ceux qui le souhaitent, le Cercle de lecture de Confluences se réunit toutes les 4 à 6 semaines pour débattre autour d’un livre choisi par les participants.
Retrouvez les débats du Cercle de lecture de Confluences dans leur émission sur CFM Radio.
Pour ce rendez-vous de la nouvelle année, les membres du Cercle de lecture se penchent sur Le silence des carpes de Jérôme Bonnetto, prix SGDL révélation 2021 paru aux éditions Incultes. Pour participer aux échanges du Cercle de lecture, il suffit de nous contacter par le biais du bouton « réserver » ci-dessous.
Informations et résumé de l’histoire par l’éditeur Le robinet de cuisine de Paul Solveig fuit. Sa femme aussi. Pour sa femme, il ne peut rien faire, pour le robinet, il appelle un plombier tchèque. Au cours de son intervention, l’artisan laisse échapper une ancienne photographie de sa mère, disparue dans sa Moravie natale pendant la période communiste. Cet étrange cliché, d’une grande beauté formelle, fascine Paul.
Son épouse partie, son robinet réparé, plus rien ne le retient à Paris. Aussi le jeune homme quitte-t-il la France pour retrouver cette inconnue, avalée derrière le rideau de fer il y a plus de trente ans, et l’artiste qui l’a ainsi immortalisée. Il atterrit alors dans la petite ville de Blednice, au cœur de la Moravie, pour poursuivre sa folle enquête.
Mais Paul Solveig n’a rien d’un fin limier.
Le silence des carpes est un roman drôle souvent, aigre-doux parfois, un peu mélancolique aussi. C’est surtout une magnifique ode à la République Tchèque, à sa littérature, à son cinéma et à la folie de ses habitants.
Ouvert non seulement aux membres de Confluences mais à toutes celles et ceux qui le souhaitent, le Cercle de lecture de Confluences se réunit toutes les 4 à 6 semaines pour débattre autour d’un livre choisi par les participants.
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BD Concert interprété par l’Ensemble Drift : Sol Hess (guitares, basse), Jérôme D’Aviau (batterie, clavier, glockenspiel), Frédéric Canaux (clavier, basse, harpe celtique, boîtes à musique et componiums, mélodies), Marie Savignat (régisseuse son).
d’après La Saga de Grimr de Jérémie Moreau (Delcourt, 2017 – Fauve d’Or – Prix du Meilleur Album du Festival d’Angoulême 2018)
VJ : Benjamin Lacquement. Création lumière : Christophe Turpault.
Une coproduction Confluences / Eidos / Le Rio
Confluences, le Rio et Eidos proposent une nouvelle soirée BD-Concert ! La Saga de Grimr convie à un voyage dans le décor sauvage de l’Islande. La BD de Jérémie Moreau se libère du papier et prend vie dans un autre espace. L’histoire projetée sur l’écran évoque le poids de la filiation, la violence de l’injustice, la puissance de la Nature et la force déraisonnable de l’Amour. L’Ensemble Drift livre en live des univers musicaux ultra contemporains (post-rock, post-punk ou no-wave), alternant avec virtuosité instruments acoustiques comme la harpe celtique et instruments rock.
Ouverture des portes à 19h45 ; Ciné-BD Concert à 20h30 Pré-vente: 12€ au guichet du Rio ou billetterie en ligne via Le Rio Sur place : 15€ plein tarif Renseignements auprès de Confluences : 05 63 63 57 62 / Eidos cinéma : 05 63 63 44 74 / Le Rio : 05 63 91 19 19
La Saga de Grimr est une quête d’identité tragique dans un décor grandiose. Le héros y est confronté à chacun des piliers de la culture islandaise : le prestige de la généalogie, le culte de la loi et la superstition.
1783. L’Islande accablée par la misère, subit depuis plusieurs jours l’irruption de son volcan, qui finira par décimer la moitié de sa population. Le pays est aussi confronté au joug du Danemark, qui régit les lois au sein de la communauté.
C’est dans ce contexte que Grimr, perd ses parents et ses terres.Dans ce pays où l’homme se définit d’abord par son lignage, Grimr est confronté au pire des dénuements et va devoir se faire un nom, seul. Il a pourtant des atouts qui le caractérisent, étant doté d’une force impressionnante, il se sait capable de rivaliser avec les plus fameux héros de saga même s’il n’est le fils de personne. Il ne lui manque que l’opportunité de prouver sa valeur. Sa rencontre avec une jeune femme confrontée à un environnement hostile lui semble l’occasion de prouver sa capacité à un avenir héroïque.Une accusation de meurtre va chambouler son projet et le renvoyer à sa condition d’orphelin déshonoré devant lutter contre la loi du puissant et la superstition du peuple.
L’idée d’adapter la Saga de Grimr en BD-Concert est née du désir de voir les planches féroces de Jérémie Moreau se libérer du papier et prendre vie dans un autre espace. La nature indomptable islandaise qu’il met en scène, semble en effet menacer à tout moment d’échapper au livre qui la garde. Il en va de même pour Grimr, son protagoniste orphelin, que l’envahisseur danois et le sort cruel tentent tant bien que mal d’anéantir. Doté d’une force impressionnante, la passion et l’amour l’animeront jusque dans sa perdition, et sa vitalité continuera à faire vibrer les volcans, bien au-delà de sa mort. C’est cette énergie et cette ardeur-là que l’Ensemble Drift tentent de mettre en valeur dans ce spectacle, tant à travers l’adaptation vidéo, que dans la composition musicale, et leur interprétation live.
La musique sera pensée comme une bande-originale dans laquelle ils trouveront des thèmes de personnages, leitmotivs, points d’orgue… La nature étant elle-même un personnage central du livre, elle aura elle aussi ses propres thèmes musicaux. L’instrumentation alternera entre instruments acoustiques (par exemple la harpe, faisant ainsi écho à une tradition musicale suggérée dans l’univers du livre), et instruments rock (guitare électriques, basse, claviers et batterie) afin d’y puiser l’électricité nécessaire pour faire fuser toute la férocité volcanique du livre par le biais d’univers musicaux actuels qui leur sont proches : le post-rock, le post-punk, la no-wave et le doom. La part belle sera donnée aux synthétiseurs, afin d’avoir recours à la froideur omniprésente de la nature islandaise. Toute cette musique sera jouée « Live » pendant la représentation.
Toute cette musique est jouée « Live » pendant la représentation. Et, comme la musique, « Live » est également le jeu de la vidéo. En effet, le vidéaste Benjamin Lacquement présent sur scène travaillera sur un montage dynamique, et appliquera certains procédés d’animation des dessins, afin de faire jaillir la puissance du livre de Jérémie Moreau.
Enfin, si le focus sera évidemment mis sur la BD et l’écran, une attention particulière sera portée sur la scénographie afin de déplacer à des moments précis le regard du spectateur vers le plateau et les quatre interprètes.
Pour ce rendez-vous d’hiver, les membres du Cercle de lecture se penchent sur La Place d’Annie Ernaux, Prix Nobel de littérature 2022!
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Informations et résumé de l’histoire par l’éditeur Folio
Il n’est jamais entré dans un musée, il ne lisait que Paris-Normandie et se servait toujours de son Opinel pour manger. Ouvrier devenu petit commerçant, il espérait que sa fille, grâce aux études, serait mieux que lui. Cette fille, Annie Ernaux, refuse l’oubli des origines. Elle retrace la vie et la mort de celui qui avait conquis sa petite « place au soleil ». Et dévoile aussi la distance, douloureuse, survenue entre elle, étudiante, et ce père aimé qui lui disait : « Les livres, la musique, c’est bon pour toi. Moi, je n’en ai pas besoin pour vivre. »
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Pour ce rendez-vous d’automne, les membres du Cercle de lecture se penchent sur L’invention des corps de Pierre Ducrozet. L’auteur sera avec Alice Zeniter invité d’honneur de la 32e édition du festival Lettres d’automne.
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Informations et résumé de l’histoire par l’éditeur Actes Sud
Rescapé du massacre des quarante-trois disparus d’Iguala, dans la nuit du 26 septembre 2014, Álvaro, qui n’a plus rien à perdre, file vers la frontière américaine. Aussi indomptable que blessé, ce surdoué de l’informatique se retrouve bientôt entre les griffes d’un magnat du Net, apprenti sorcier de la Silicon Valley, mécène et apôtre du transhumanisme, qui vient de recruter une brillante biologiste française. En mettant sa vie en jeu, Álvaro se rapproche lentement de l’amour, et du désir d’être lui-même.
Exploration tentaculaire des réseaux qui irriguent le contemporain – du corps humain au World Wide Web –, L’invention des corps cristallise les enjeux de la modernité avec un sens crucial du suspense, de la vitesse et de la mise en espace.
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Pour ce rendez-vous de la rentrée, les membres du Cercle de lecture se penchent sur L’art de perdre, fresque romanesque puissante et audacieuse d’Alice Zeniter. L’autrice sera avec Pierre Ducrozet invitée d’honneur de la 32e édition du festival Lettres d’automne.
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Informations et résumé de l’histoire par l’éditeur Coédition Flammarion/Albin Michel
L’Algérie dont est originaire sa famille n’a longtemps été pour Naïma qu’une toile de fond sans grand intérêt. Pourtant, dans une société française traversée par les questions identitaires, tout semble vouloir la renvoyer à ses origines. Mais quel lien pourrait-elle avoir avec une histoire familiale qui jamais ne lui a été racontée ?
Son grand-père Ali, un montagnard kabyle, est mort avant qu’elle ait pu lui demander pourquoi l’Histoire avait fait de lui un « harki ». Yema, sa grand-mère, pourrait peut-être répondre mais pas dans une langue que Naïma comprenne. Quant à Hamid, son père, arrivé en France à l’été 1962 dans les camps de transit hâtivement mis en place, il ne parle plus de l’Algérie de son enfance. Comment faire ressurgir un pays du silence ?
Dans une fresque romanesque puissante et audacieuse, Alice Zeniter raconte le destin, entre la France et l’Algérie, des générations successives d’une famille prisonnière d’un passé tenace. Mais ce livre est aussi un grand roman sur la liberté d’être soi, au-delà des héritages et des injonctions intimes ou sociales
Ouvert non seulement aux membres de Confluences mais à toutes celles et ceux qui le souhaitent, le Cercle de lecture de Confluences se réunit toutes les 4 à 6 semaines pour débattre autour d’un livre choisi par les participants.
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Tout au long de l’année, Confluences propose une programmation pour le public scolaire, de la maternelle à l’université.
Par l’organisation de rencontres, lectures, spectacles, animations ou ateliers adaptés au jeune public, ces manifestations offrent une occasion privilégiée d’échanges et de découvertes artistiques.
Pour l’année scolaire 2022-2023, ce programme s’articulera autour de trois projets :
FESTIVAL LETTRES D’AUTOMNE [ tous niveaux ]
Pour sa 32e édition, du 14 au 27 novembre, le festival a choisi de mettre à l’honneur deux voix émergentes de la littérature française, celles de Pierre Ducrozet et Alice Zéniter, autour du thème : saisir le présent.
Programme scolaire avec, entre autres, Gilles Abier, Marie Colot, Claire Garralon, Florence Hinckel, Jessie Magana, Cécile Roumiguières, Benoît Séverac, Pierre Ducrozet, Alice Zeniter…. • Le programme scolaire de Lettres d’automne sera présenté et diffusé lors de la réunion ZOOM
UNE ANNÉE DE VIVE VOIX [ collèges & lycées ]
Ce propose d’aborder la littérature, les arts de la parole et l’oralité par le biais de la lecture à voix haute. Il se déroule sur l’ensemble de l’année scolaire : formation des enseignants, ateliers en classe, rencontre avec des auteurs, etc. • Télécharger le programme
PLAISIR DE LIRE [ classe de 3e de Tarn-et-Garonne uniquement ]
Lecture par Nathalie Vidal, comédienne, d’extraits de La plus précieuse des marchandises de Jean-Claude Grumberg, ponctuée d’interventions sur les codes et les personnages du conte. • Télécharger le programme
RÉUNION D’INFORMATION POUR LES ÉCOLES MATERNELLES ET PRIMAIRES
Le mercredi 29 juin 2022 à 14h
• Lien de connexion : https://us06web.zoom.us/j/81385453528
• Cette présentation sera enregistrée, si vous n’êtes pas disponible ce jour-là, nous vous transmettrons sur demande le lien pour la visionner ultérieurement.
RÉUNION D’INFORMATION POUR LES COLLÈGES ET LYCÉES
Mercredi 29 juin 2022 à 16h
• Lien de connexion : https://us06web.zoom.us/j/84829185574
• Cette présentation sera enregistrée, si vous n’êtes pas disponible ce jour-là, nous vous transmettrons sur demande le lien pour la visionner ultérieurement.
Merci de confirmer votre présence auprès de Confluences : 05 63 63 57 62 / scolaire@confluences.org
Lecture mise en sons, musique et images Interprétation : François Henri Soulié, Mathieu Hornain D’après L’ingénieux Hidalgo Don Quichotte de la Manche, de Miguel de Cervantes Saavedra, traduction Aline Schulman, éditions Points.
En cette période électorale, nous vous proposons de plonger dans les arcanes du pouvoir par le prisme de Sancho Panza. Résumons : Comme le rapporte l’historien maure Cid Hamet Ben Engeli dans le tome 2 de cette histoire que Cervantes nous transmet, Don Quichotte et son écuyer sont chez un duc et une duchesse qui se jouent d’eux pour leur bon plaisir (et le nôtre). Poussant le vice de leurs divertissantes mystifications, ils décident de réaliser la promesse de Quichotte à Sancho : faire du rêve de ce dernier une réalité en lui donnant un archipel à gouverner. Nous traverserons ce carnaval politique et philosophique en musique et images projetées.
« Quichotte est le symbole d’une quête de l’absolu, au moyen, toujours fallacieux, du relatif, il n’a sans doute pas fini de nous parler » Jean Canavaggio, Don Quichotte, du livre au mythe, quatre siècles d’errance, Fayard.
Traduction de la vitalité et de la diversité de la sculpture d’aujourd’hui, le Festival de la sculpture organisé par l’Espace Bourdelle propose un riche programme du 13 au 26 juin 2022. L’invité d’honneur, Michel Zachariou, sculpteur lotois, donnera le ton de la thématique choisie cette année « Origine-Horizons(s) »
Neuf artistes exposent leurs œuvres à La petite comédie, l’un des cinq lieux d’expositions du festival : Brignac, Marie-Claire Buisson, Elisabeth Coutou, Jean-Paul Crouzat, Chrystel Florens, Alain Lambert, David Malzac, Marjon Mudde et Catherine Pissio.
Pour découvrir autrement les œuvres exposées à La petite comédie, un atelier d’écriture animé par Sylvie Rabaud, association Dits-Styles est programmé le jeudi 23 juin de 18h à 20h.
Photo d’une œuvre de Catherine Pissio, crédit photo DR
Exposition et atelier d’écriture dans le cadre du « Festival de la Sculpture » à La petite comédie
Traduction de la vitalité et de la diversité de la sculpture d’aujourd’hui, le Festival de la sculpture organisé par l’Espace Bourdelle propose un riche programme du 13 au 26 juin 2022. L’invité d’honneur, Michel Zachariou, sculpteur lotois, donnera le ton de la thématique choisie cette année « Origine-Horizons(s) »
Neuf artistes exposent leurs œuvres à La petite comédie, l’un des cinq lieux d’expositions du festival : Brignac, Marie-Claire Buisson, Elisabeth Coutou, Jean-Paul Crouzat, Chrystel Florens, Alain Lambert, David Malzac, Marjon Mudde et Catherine Pissio.
Exposition ouverte du 13 au 26 juin, du lundi au vendredi de 14h à 18h et le samedi et dimanche de 15h à 18h. Mercredi 15 juin à 18h30 : Vernissage
Et pour découvrir les œuvres autrement, un atelier d’écriture animé par Sylvie Rabaud, association Dits-Styles est programmé à La petite comédie le jeudi 23 juin de 18h à 20h.
Gratuit sur réservation : 05 63 63 57 62 ou reservation@confluences.org